PHOTOGRAPHES CONFIRMES
Publié le 25/10/2025 à 20:28 par photocosmos
LA PLUS ANCIENNE PHOTOGRAPHIE DE FEMME

Bien qu’à première vue, il puisse sembler être une autre image du XIXe siècle, ce daguerréotype est particulièrement important pour l’histoire car c’est le premier qui est conservé où une femme apparaît.
Ce daguerréotype a été pris à Washington en 1839 ou 1840 par John William Draper (1811-1882), chimiste, historien et auteur de plusieurs livres sur des questions humanistes et scientifiques (sa renommée a conduit à la traduction de certains de ses ouvrages en plusieurs langues).
Elle, quant à elle, s’appelait Dorothy Catherine Draper (1807-1901) et était la sœur de John. Elle a également eu une carrière importante : elle est diplômée de la faculté de médecine et a enseigné, travaillant également comme professeur de dessin. Elle prêta aussi son concours aux recherches de Jean.
L’image est surprenante car, malgré son ancienneté et son habillement, typique de la première moitié du XIXe siècle, elle nous semble encore étonnamment proche, proche de nous.
Sûrement à cause de la qualité de celui-ci qui nous permet de bien voir ses caractéristiques comme la profondeur de son regard et la finesse de son sourire…
Publié le 31/12/2024 à 17:11 par photocosmos
Light painting dans un skate-park 
Sur cette image prise dans le skate-park d’Arvada, dans le Colorado, l’art du light painting rencontre celui du skateboard pour un rendu presque psychédélique. Ouvert en 2012 et s’étendant sur près de 4 000 mètres carrés, ce skate-park est le troisième plus grand des États-Unis. On y trouve un snake run, deux bowls de deux tailles différentes, des manual pads ou wheelies, des corniches, des rails, des escaliers, des briques et une pyramide. Et si vous savez ce à quoi tout cela correspond, vous êtes surement un pro de la glisse.

Cette photo a été réalisée en utilisant un procédé appelé « light painting », une technique de prise de vue qui consiste à faire bouger une source de lumière tout en utilisant la technique de la pose longue. Cela permet au photographe de « dessiner » avec la lumière sur sa photo.







Publié le 30/05/2024 à 17:07 par photocosmos
Images Inédites : 35 Photos Rares qui Révèlent le Passé
Publié le 26/05/2024 à 15:30 par photocosmos
les plus belles photos de Daniel Kordan
Qui n’a pas rêvé un jour de partir pour un tour du monde ? En quête des beautés naturelles que cache notre Planète. Daniel Kordan (Russie) a réalisé ce rêve. Il nous propose aujourd’hui de partager quelques-unes de ses découvertes sur lesquelles il pose tantôt un regard poétique, celui du photographe, tantôt un regard scientifique, celui du physicien de formation, tantôt même un regard d’alpiniste randonneur ou de journaliste. Mais, de la Norvège au Chili en passant par la Russie, les États-Unis, le Groenland ou la Chine, toujours, un regard rempli de douceur, profondément humain.
L’île de Senja, la Norvège en miniature
Le magnifique ciel étoilé du Deadvlei
Sur l’Altiplano chilien, la légende des Navedos de Payachatas
Guilin et ses dents de dragon
Le lac Jack London, une eau claire au milieu des montagnes
Le Groenland souffre du réchauffement climatique
Les rochers-champignons de l’Altaï
Madère, l’exotisme au cœur de l’Europe
Aux îles Féroé, un lac suspendu sur la mer
Publié le 15/05/2024 à 15:55 par photocosmos
Macrophoto, le monde mystérieux et raffiné de Miki Asai

La macrophotographie est une discipline très particulière. Elle nous permet de poser sur le monde un regard nouveau, décalé, étonnant. Et c’est bien pour cette raison que la Japonaise Miki Asai s’est passionnée pour la macrophotographie. Pour révéler à nos yeux, un monde qui reste habituellement invisible.
Miki Asai s’attache en plus à y apporter sa touche personnelle, toute en délicatesse et en raffinement, en enchantement et en merveilleux. Ici, des pétales aux courbes finement soulignées par un jeu de couleurs et de lumières. Là, l’incroyable rencontre d’une fourmi et d’une gouttelette d’eau. Une véritable invitation à rêver !

Pour la photographe amateur japonaise Miki Asai, l'aventure a commencé lorsqu'elle s'est offert un objectif macro. Ce sont alors tous les petits secrets invisibles de son jardin qui se sont ouverts à elle. Il y avait là d'incroyables gouttelettes de pluie et de délicates fourmis qui semblaient n'attendre que le regard poétique de Miki Asai pour révéler leurs splendeurs à nos yeux.
Ici, quelques fleurs lilas et de petites gouttes d'eau déposées sur un support, à proximité d'une fourmilière. Un peu de patience et la fourmi, tant désirée pour compléter le tableau, apparaît. Ne reste plus qu'à attendre qu'elle prenne la pose parfaite. Et à espérer qu'aucune poussière ne viendra gâcher le tableau. © Mika Asai, Tous droits réservés







Publié le 01/03/2024 à 20:37 par photocosmos
Plongez sous la surface avec les images du photographe sous-marin de l’année 2024 Publié
« Os de baleine. » Photo ©Alex Dawson/UPY2024.
Sous une mer sombre et recouverte de glace au large des côtes du Groenland, un plongeur courageux rencontre les énormes restes squelettiques de petits rorquals.

Éclairant une pratique historique et culturelle, l’image spectrale d’ Alex Dawson a remporté le concours du photographe sous-marin de l’année 2024 , attirant l’attention sur l’impact de l’humanité sur les mammifères marins.
Le concours de cette année a été le plus compétitif à ce jour, recueillant 6 500 candidatures du monde entier.

Parmi les autres gagnants figurent l’image de JingGong Zhang montrant des anguilles majeures de Zoarchias hormonales se disputant les nids pendant la saison de reproduction et une photo d’un Mahi Mahi affamé mâchant une sardine par Lisa Stengel .
Découvrez-en plus et les histoires derrière les photos sur le site UPY .






Publié le 26/02/2024 à 16:06 par photocosmos
concours de la plus belle photo sous-marine en 2024
Si les concours de photographies mettent pour beaucoup en évidence la beauté de la faune et de la flore, certains n’en oublient pas pour autant la richesse des fonds marins à l’image de l’Underwater Photographer of the Year.
Depuis sa création en 1965, l’événement n’a d’ailleurs jamais défailli à son rôle et nous l’a prouvé une année de plus. Et pour cause, l’édition 2024 aura été la plus convoitée à ce jour avec pas moins de 6500 candidatures provenant de photographes du monde entier.
“Illuminer le passé” par Becky Kagan Schott

“Attaque d’octopus” par Enrico Somogyi

“Feu fluorescent” par James Lynott

“Basse basse basse” par Kirsty Andrews

“Durée de vie des jambes de jetée” par Kirsty Andrews

Publié le 26/02/2024 à 16:00 par photocosmos
concours de la plus belle photo sous-marine en 2024
Si les concours de photographies mettent pour beaucoup en évidence la beauté de la faune et de la flore, certains n’en oublient pas pour autant la richesse des fonds marins à l’image de l’Underwater Photographer of the Year.
Depuis sa création en 1965, l’événement n’a d’ailleurs jamais défailli à son rôle et nous l’a prouvé une année de plus. Et pour cause, l’édition 2024 aura été la plus convoitée à ce jour avec pas moins de 6500 candidatures provenant de photographes du monde entier.
“Danse d’eau” par Jasmine Skye Smith

“Nudi on Fire” par Enrico Somogyi

“Divebomb” par Kat Zhou

“Requin-chat à Bootlace” par Jon Bunker

“Vagabond solitaire” par Dennis Corpuz

“Bouche à bouche” par JingGong Zhang

“Attaque d’en-haut” par Jon Anderson

“Deux grands requins blancs naviguant au-dessus des herbiers marins” par Matty Smith

“Sauvage et libre” par Remuna Beca

“Encerclée” par Sarah O’Gorman

Publié le 26/02/2024 à 15:50 par photocosmos
concours de la plus belle photo sous-marine en 2024
Si les concours de photographies mettent pour beaucoup en évidence la beauté de la faune et de la flore, certains n’en oublient pas pour autant la richesse des fonds marins à l’image de l’Underwater Photographer of the Year.
Depuis sa création en 1965, l’événement n’a d’ailleurs jamais défailli à son rôle et nous l’a prouvé une année de plus. Et pour cause, l’édition 2024 aura été la plus convoitée à ce jour avec pas moins de 6500 candidatures provenant de photographes du monde entier.
“Os de baleine” par Alex Dawson

“Fenêtre d’opportunité” par Lisa Stengel

“Sauvez Goliath” par Nuno Sá

“Attraction d’étoiles” par Jenny Stock

“Raver de minuit” par Sandra Stalker

“Connexion de baleine grise” par Rafael Fernandez Caballero

“Blennie en bouteille” par Kirsty Andrews

“Un portrait abstrait d’un hippocampe ventru” par Talia Greis

“Chef de tank” par Martin Broen

“La fin du Baitball” par Rafael Fernandez Caballero

Publié le 23/02/2024 à 16:57 par photocosmos
Dans l’œil d’Oriane Robaldo : en un baiser, la sororité

Cette semaine, plongée dans l’œil d’Oriane Robaldo. Au cœur d’un shooting spontané – dans le cadre de sa série Amy et Paula – la photographe installée à Paris parvient à saisir un moment de tendresse qui résonne étrangement avec sa pratique artistique. Pour Fisheye, elle revient sur les émotions qui l’animent, et stimulent sa créativité.
« Ce sont deux danseuses que j’ai rencontrées en photographiant le collectif (La)Horde. Je leur ai proposé d’organiser un shoot ensemble – une série qui s’appelle Amy et Paula – parce que j’aimais beaucoup leur énergie : ce sont deux amies qui travaillent ensemble, qui se voient tous les jours, et qui s’aiment profondément. Je trouvais cela vraiment émouvant. Cette image, prise avec un boîtier argentique, a été réalisée un jour de septembre ensoleillé. Je ne les avais pas vraiment guidées. Je voulais voir ce qui se passait entre elles, naturellement. À un moment, elles se sont fait un bisou sur le front, et je leur ai simplement demandé de garder la position. Je n’avais d’ailleurs jamais publié cette photographie jusqu’à aujourd’hui, et je suis ravie de la partager maintenant !
J’aime le contrejour, qui donne une profondeur à cette image, et la lumière, mais j’aime surtout cette sensation de tendresse, de bienveillance. Il y a, dans cette photo une aura de sororité, une notion d’empowerment, de“girls supporting girls”, d’une nouvelle famille que l’on se crée. Ce sont des thèmes qui me touchent, qui me donnent envie de tourner mon appareil vers les femmes de ma génération qui s’aiment et se soutiennent. Ici, on est très loin d’un regard voyeur, d’un fétichisme quelconque de “meufs qui s’embrassent”. J’ai plus en tête une sorte de lendemain de soirée pyjama, quelque chose de très doux et rassurant, qui me plaît profondément. »
« Ici, on est très loin d’un regard voyeur, d’un fétichisme quelconque de “meufs qui s’embrassent”. »
Écrit par Lou Tsatsas