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quelques interrogations dans les dates citées :
"en 1869, adolphe, neveu de parissot, entre dans le capital.
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Date de création : 20.01.2011
Dernière mise à jour :
05.11.2025
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A LISBONNE LE FADO POUR REDORER LE QUARTIER DE LA MOURARIA
La Mouraria, l'un des plus anciens quartiers de Lisbonne, souvent associé aux problèmes de drogue et de prostitution, veut changer son image. L'idée de ses habitants, attirer les touristes grâce au fado, ce chant traditionnel mélancolique.

Changer l'image d'un quartier grâce au fado? C'est l'idée de la Mouraria, quartier de Lisbonne. Exclu des circuits touristiques, méconnu des Lisboètes et longtemps ignoré par les pouvoirs publics, ce quartier, dont le nom renvoie aux Maures qui y ont habité, il y a plus de neuf siècles, ne manque pourtant pas d'atouts.

Avec son dédale de venelles étroites, ses escaliers en pente, ses places pavées, ses fontaines en pierre, ses vieux immeubles décrépits, le linge qui sèche aux fenêtres, ce quartier populaire où cohabitent Portugais, Indiens, Pakistanais, Africains et Chinois, est l'un des plus authentiques de la capitale portugaise. Décidés à redorer l'image de leur «bairro», des habitants, regroupés au sein de l'Association «Renovar a Mouraria»

(Réhabiliter la Mouraria), créée en 2008, ont eu l'idée d'organiser des visites chantées gratuites pour faire découvrir, avec des artistes du fado, leur quartier dédaigné. «Le but de cette initiative est de rendre ce quartier plus vivant, de faire venir aussi bien les Portugais que les touristes», explique Inês Andrade, présidente de l'association.

«Ce quartier a été oublié à tort»
Jusqu'à fin septembre, du vendredi au dimanche, des guides bénévoles donnent rendez-vous aux curieux en fin d'après-midi à l'entrée de la Mouraria, au pied de la petite chapelle blanche, surmontée d'une croix noire en fer forgé, Nossa Senhora da Saude.

«Pendant de nombreux siècles, ce quartier a été oublié à tort», lance le guide Nuno Franco, un habitant du quartier, âgé de 54ans, entouré de musiciens et chanteurs.
Le quartier, berceau du fado

«Le fado est né ici, à partir des chansons traditionnelles africaines. Il est rapidement devenu le chant des classes populaires et des marins de passage» au retour de leurs expéditions maritimes, poursuit le guide devant un monument en pierre en forme de guitare rappelant qu'on entre ici «dans le berceau du fado».

C'est dans l'une des ruelles du quartier qu'est née au XIXesiècle Severa, la première grande chanteuse de fado, dans une petite maison en pierre. Arrêt obligatoire devant la petite place qui porte son nom pour un «fado à desgarrada», un chant où s'affronte un couple de chanteurs dans une joute improvisée.

Après environ une heure, la visite se termine par un célèbre fado sur Lisbonne, renommé grâce à la diva Amalia Rodrigues. La foule reprend le refrain en coeur, en frappant des mains: «Cheira bem, cheira a Lisboa (Ça sent bon, ça sent Lisbonne)...» sous le regard des habitants, accoudés aux fenêtres.

Cette initiative, soutenue par la mairie de Lisbonne, fait également partie
des engagements pris auprès de l'Unesco, qui a inscrit, l'année dernière, le fado à son patrimoine culturel immatériel








Vraiment particulier ce quartier de Lisbonne, cela tranche avec ce que l'on peut voir en général de cette ville (que je ne connais pas, mais sur le net on visite quand même...)Bel immeuble recouvert d'azulejos...
C'est une bonne idée qu'à eu le maire de faire connaitre ce quartier.
Bisous pour toi
Alice
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