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beaux clichés, belles matières premières, beau pays et belle journée. mais même avec ça, moi je n'y arrive pas
Par Anonyme, le 06.10.2025

c'était attendu de tous bravo aux ingénieux inventeurs de cette trouvaille. excellent.
Par Anonyme, le 26.09.2025

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Par Anonyme, le 26.09.2025

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Date de création : 20.01.2011
Dernière mise à jour : 06.10.2025
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À partir de quand peut-on se considérer alcoolique?

Publié le 22/11/2023 à 20:42 par photocosmos

À partir de quand peut-on se considérer alcoolique?

Pour &ecirc;tre consid&eacute;r&eacute; comme alcoolique chronique, il faut boire de fa&ccedil;on tr&egrave;s r&eacute;guli&egrave;re, quasi quotidiennement. |&nbsp;Drew Beamer via Unsplash

Pour être considéré comme alcoolique chronique, il faut boire de façon très régulière, quasi quotidiennement. | Drew Beamer via Unsplash

«T'es un vrai alcoolo toi!» Cette phrase, vous l'avez peut-être déjà entendue dans un bar, quand un ami à vous se prépare à reprendre un verre. Tout le monde rigole, mais personne ne s'en préoccupe vraiment.

C'est bien là l'un des problèmes posés par l'emploi de ce terme, «alcoolisme». Utilisé à tout va, notamment pour définir l'ivresse ou une soirée un peu trop arrosée, on ne sait plus vraiment ce qu'il veut dire, ce qu'il représente. C'est la question de la semaine: à partir de quand peut-on se considérer alcoolique?

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Alcoolodépendance

Quand on parle d'alcoolisme, on peut rapidement tomber dans les clichés. Celui d'un homme ou d'une femme qui engloutit de la vodka dès le réveil, avant de terminer sa soirée attablé à un troquet. Non, l'alcoolisme, ce n'est pas que ça. C'est pour cette raison qu'il n'est pas si évident de le définir.

Pour y voir un peu plus clair, on peut exposer différentes consommations d'alcool jugées dangereuses:

 

  • «À risque», quand on boit mais que cela n'a pas d'impact immédiat sur notre santé, sur notre travail ou sur nos relations;
  • «Nocive», quand les points précédents commencent à être impactés par cette consommation;
  • Et puis, il y a le stade de «l'alcoolodépendance», terme que préfère employer l'OMS pour caractériser l'alcoolisme, car il insiste davantage sur l'aspect addictif du comportement.

Dans l'alcoolodépendance, il n'y a plus de maîtrise. L'alcool devient un élément essentiel de votre vie, dont vous ne pouvez plus vous passer. Et si vous essayez ne serait-ce qu'un peu de vous en éloigner, vous ressentirez un retour de bâton. Ce sont les effets du sevrage, qui peuvent aller de l'anxiété aux sueurs, voire aux tremblements.

Là encore, le terme «alcoolodépendance» est trop vague, estime le site spécialisé Qare. On pourrait en effet encore décliner les types d'alcoolisme en sous-catégories:

 

  • L'alcoolisme mondain, lorsqu'on boit quotidiennement, sans pour autant entrer dans un état d'ivresse régulier. C'est sûrement l'alcoolisme le plus répandu et le plus pernicieux, parce qu'il est plus difficilement repérable;
  • L'alcoolisme fonctionnel, un type d'alcoolisme là aussi moins visible, mais où la personne augmente petit à petit sa consommation, car son corps en éprouve la nécessité;
  • Et puis, il y a l'alcoolisme chronique, celui que l'on imagine tous selon nos représentations de ce terme, où l'alcoolodépendance frappe à son plus haut niveau.

Deux à trois verres par jour

Vous l'aurez compris, déterminer ce qu'est une personne «alcoolique» est un peu fastidieux, car les cas se suivent mais ne se ressemblent pas. Mais si l'on se penche sur un nombre de verres en particulier pour définir un potentiel seuil d'alcoolodépendance, c'est encore plus le foutoir. Les scientifiques sont malgré tout arrivés à établir une mesure standard.

Pour être considéré comme alcoolique chronique, il faut boire de façon très régulière, quasi quotidiennement. Et pas qu'un verre. Alors oui, parfois, entre les déjeuners au boulot, les verres lors de soirées avec des amis et autres rendez-vous, le compte grimpe rapidement, et l'on arrive plus facilement à compter les jours où l'on n'a pas bu dans la semaine que ceux où l'on a bu.

Toutefois, les scientifiques estiment qu'on peut rentrer dans la catégorie des alcooliques quand on boit plus de trois verres par jour pour les hommes, et deux pour les femmes. Des chiffres qu'il faut aussi mettre en parallèle avec le niveau de dépendance vu précédemment et l'impact sur la vie de tous les jours. Si l'on ne peut se passer de boire une journée, ce n'est franchement pas bon signe.

Il est d'ailleurs conseillé de ne pas boire tous les jours. Deux ou trois jours sans alcool par semaine au minimum sont recommandés pour ne pas sombrer dans l'alcoolisme. C'est un bon moyen de contrôler sa consommation d'alcool: une limite de boisson par semaine serait bien plus efficace qu'une limite quotidienne.

Une autre question persiste: comment savoir si on a un problème avec l'alcool? On l'a vu, comprendre son alcoolisme n'est pas si simple, et les clichés autour de cette souffrance peuvent nous inciter à minimiser une consommation excessive et dangereuse.

Pour avoir une idée d'où on en est, il faut se poser certaines questions, conseille Doctissimo: est-ce que je bois tous les jours? Est-ce que je bois seul? Est-ce que boire m'aide à me sentir mieux? Est-ce que je commence à boire de plus en plus tôt dans la journée? Voilà quelques éléments qui peuvent déjà vous aiguiller pour, peut-être, lever un peu le pied sur la boisson.