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bonjour je viens te souhaiter une excellente journée bise de josy
Par Crystal46 , le 22.11.2025

ce n'est pas "à la lippe indolente" mais "à la lippe zinzolin". ne serait-ce que pour la rime avec "aquilin"..
Par Anonyme, le 20.11.2025

elle est super belle rayonnante dans une telle tenue meri anonyme ! http://photoco smos.centerblo g.net
Par photocosmos, le 20.11.2025

une anecdote intéressante sur la résistance individuelle des français face au nazisme. comm e quoi il est enc
Par Anonyme, le 20.11.2025

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Dernière mise à jour : 02.12.2025
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EXTRA-TERRESTRE-OVNIS-SCIENCES FICTION

Aux origines du Geipan, dédié à l'étude des ovnis

Publié le 23/09/2025 à 21:12 par photocosmos

Aux origines du Geipan, l'organisme français dédié à l'étude des ovnis

Créée en 1977 alors qu'une vague d'ovnis déferlait sur l'Hexagone, cette structure officielle a pour mission d'enquêter sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés. Éclairage avec son directeur, Frédéric Courtade.

Aujourd'hui, le Groupe d'études et d'informations sur les phénomènes aérospatiaux non identifiés (Geipan) reçoit environ 800 signalements par an en France. | | © Centre national d'études spatiales / CNES, 1989

C'est un sujet qui défraie la chronique dans les années 1970. Les apparitions d'objets volants non identifiés (ou ovnis) semblent se multiplier à une vitesse alarmante. Il suffit de parcourir les gros titres pour s'en convaincre: «Des ovnis dans le ciel de Perpignan»; «Traces mystérieuses dans un pré du Jura»; «Tulle: des ovnis aperçus par des écoliers». Relayés par les médias, ces témoignages enflamment les imaginations. S'agit-il d'avions espions soviétiques? De bombardiers d'un nouveau genre? De créatures venues d'ailleurs?

Pour faire la lumière sur les phénomènes étranges auxquels ils sont confrontés, des Français et des Françaises ordinaires investissent les plateaux de télévision, se regroupent en associations d'ufologues amateurs, publient leurs témoignages dans des livres. Quelques années après l'alunissage d'Apollo 11 (le 21 juillet 1969), le monde a encore la tête dans les étoiles.

En parallèle, la culture du secret qui pèse sur la Guerre froide entretient un climat de méfiance vis-à-vis des institutions établies. Peut-être pour tempérer l'effusion médiatique, l'État français intervient officiellement le 1er mai 1977 en fondant le Groupe d'études des phénomènes aérospatiaux non identifiés, ou Gepan (aujourd'hui Geipan avec «d'informations» ajouté au nom), placé sous la supervision du Centre national d'études spatiales (CNES). Sa mission: collecter et analyser les phénomènes aérospatiaux non identifiés (ou PAN). Une première mondiale.

La France à l'initiative

Si les ovnis ne font plus aujourd'hui partie des priorités nationales, ils intéressent à l'époque les plus hautes instances du pays. En février 1974, le ministre des Armées Robert Galley concède qu'il «faut adopter vis-à-vis de ces phénomènes une attitude d'esprit extrêmement ouverte», interrogé par Jean-Claude Bourret dans l'émission «Pas de panique» sur France Inter.

«C'était la vision du ministère de la Défense qu'il fallait avoir une parole officielle, souligne Frédéric Courtade, directeur du Geipan depuis janvier 2024. Cette proposition trouva un écho favorable auprès du président du CNES, qui donna une caution scientifique à l'organisation.»Dans cet esprit de rigueur, on préfère parler de PAN plutôt que d'ovnis. «Dans le langage courant, on a fini par associer le terme aux petits hommes verts, sourit Frédéric Courtade. Or, il n'y a pas que les extraterrestres derrière les ovnis.»

Basé à Toulouse, le Gepan entend dès sa création adopter une démarche rigoureuse, s'entourant d'un comité scientifique avec des experts de tous horizons –notamment Hubert Curien, le père du projet de la fusée Ariane– et de partenaires locaux comme la gendarmerie nationale, l'aviation civile, l'armée de l'air et les services de Météo-France. Sans oublier de nombreux enquêteurs bénévoles qui se rendent sur les lieux, prennent des photographies, effectuent des prélèvements, interrogent les témoins…

Une fois les indices rassemblés, les cas traités sont classés en quatre catégories allant de A à D: A pour les cas expliqués par des preuves scientifiques, D pour ceux qui demeurent inexpliqués. «Les cas D étaient les plus dignes d'intérêt, car ce sont ceux qui présentent le plus fort degré d'étrangeté», indique Frédéric Courtade.

3% de cas sans réponse

À l'époque, les cas D concernaient environ 15 à 20% des dossiers traités par le Gepan. Depuis lors, sa méthodologie s'est affinée et professionnalisée. Grâce à la collaboration des psychologues du CNRS et de l'université de Toulouse, elle s'est enrichie d'une dimension psychosociale qui vise à repérer les biais cognitifs qui conduiraient les témoins à une narration erronée de leurs souvenirs. Son comité d'experts, composé de sommités du monde aérospatial, mais aussi de psychologues et de sociologues, se réunit deux à trois fois par an pour échanger sur les cas inexpliqués. «Aujourd'hui, nous avons encore 102 cas non identifiés, soit un peu plus de 3% de l'ensemble», chiffre Frédéric Courtade.

Un enquêteur du Sepra (successeur du Gepan, ancêtre du Geipan) à Brix, dans la Manche, dans l'affaire du «trou normand», découvert en octobre 1989 et qui concernait une portion de terre mystérieusement brûlée. L'incendie, ont conclu les enquêteurs, a été causé par du kérosène largué par un avion, puis enflammé sur une ligne à haute tension. | © Centre national d'études spatiales / CNES, 1989

Un enquêteur du Sepra (successeur du Gepan, ancêtre du Geipan) à Brix, dans la Manche, dans l'affaire du «trou normand», découvert en octobre 1989 et qui concernait une portion de terre mystérieusement brûlée. L'incendie, ont conclu les enquêteurs, a été causé par du kérosène largué par un avion, puis enflammé sur une ligne à haute tension. | © Centre national d'études spatiales / CNES, 1989

Bien entendu, il reste dans les archives de l'organisation quelques dossiers déroutants. La rencontre de Cussac (en 1967, dans le Cantal) ou l'affaire de Trans-en-Provence (en 1981, dans le Var) alimentent encore, de nos jours, les conversations et les conférences ufologiques à travers le monde.

Les phénomènes qui semblent transcender les règles élémentaires de la physique –vitesses hypersoniques, volatilisation soudaine d'objets, déplacements sans bruit ou traces radar– sont ceux qui intriguent le plus les chercheurs… N'en déplaise aux ufologues amateurs, toutefois, la plupart des «anomalies» trouvent généralement une explication rationnelle: désintégration de débris spatiaux, illusions d'optique, passage d'un satellite ou lanterne asiatique égarée…

 

Le cratère emblématique « Apollo Earthrise »

Publié le 02/08/2025 à 15:26 par photocosmos
 Le cratère emblématique « Apollo Earthrise » vient d’aider un vaisseau spatial à mieux chasser les extraterrestres  
Le cratère Earthrise d’Anders, immortalisé par une photo emblématique, vient d’aider la sonde JUICE de l’ESA à perfectionner ses instruments de chasse aux extraterrestres. (Crédit image : Image Earthrise : NASA, annotation ajoutée par l’ESA ; radargramme RIME : ESA/Juice/RIME)….

Un grand cratère lunaire présenté sur la photo emblématique « Earthrise » vient d’aider le vaisseau spatial européen JUICE à perfectionner ses instruments de chasse aux extraterrestres lors d’un survol unique.

Le modèle d’élévation de RIME montre la hauteur de la Lune à l’intérieur et autour du cratère emblématique « Earthrise », la ligne rose vif à jaune indiquant l’altitude. Le cratère lui-même est représenté par le grand creux à droite de l’image.(Crédit image : ESA/Juice/RIME)

Un cratère lunaire immortalisé dans l’une des photographies les plus célèbres jamais prises vient de jouer un rôle clé dans la chasse à la vie extraterrestre dans notre système solaire .

S’étendant sur près de 40 kilomètres de part et d’autre de la face cachée de la Lune, le cratère d’impact lunaire, autrefois connu sous le nom de « Pasteur T », est peut-être le cratère lunaire le plus observé de l’histoire.

D’innombrables Terriens l’ont vu s’étendre au premier plan de la photo emblématique du « Lever de Terre » prise par l’astronaute américain William Anders le 24 décembre 1968, lors de la mission Apollo 8.

Cette majestueuse photo, qui montre une Terre à moitié éclairée s’élevant majestueusement au-dessus de l’horizon lunaire, est devenue si célèbre que le cratère a été rebaptisé « Lever de Terre d’Anders » en 2018.

Aujourd’hui, près de 60 ans après que le survol d’Anders a permis de mettre son cratère éponyme sur la carte, un autre vaisseau spatial l’a aperçu depuis l’orbite – cette fois, avec la science extraterrestre à l’esprit.

La sonde JUICE (Jupiter Icy Moons Explorer), lancée depuis la Terre en avril 2023 et dont l’orbite devrait atteindre Jupiter en 2031, a survolé la Lune il y a près d’un an. Les scientifiques de la mission ont profité de cette rencontre pour tester les dix instruments scientifiques de la sonde, qui serviront à terme à rechercher des signes d’habitabilité sur les nombreuses lunes de Jupiter .

Ce survol lunaire a été la première occasion de tester les performances des instruments de JUICE sur une surface solide dans l’espace, ont indiqué des représentants de l’ Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué .

L’instrument RIME (Radar for Icy Moon Exploration), qui utilise les échos des ondes radio pour mesurer l’altitude des corps rocheux, a été particulièrement important.

« La tâche de RIME sur Jupiter est de scruter les surfaces glacées des lunes Europe, Ganymède et Callisto pour cartographier les couches rocheuses invisibles en dessous », ont écrit les représentants de l’ESA dans le communiqué.

Comme RIME doit « écouter » les variations précises des ondes radio, l’instrument a besoin d’un silence maximal pour obtenir les meilleures mesures.

C’est là que le cratère Earthrise d’Anders entre en jeu. Pendant que JUICE survolait le célèbre cratère, les scientifiques de l’ESA ont mis sous silence tous les autres instruments de la sonde afin de permettre à RIME de l’observer en toute tranquillité pendant huit minutes ininterrompues.

Le radar de RIME a cartographié l’altitude de la Lune dans et autour du cratère, que les chercheurs ont comparée à des mesures antérieures prises par d’autres sondes spatiales, comme l’altimètre laser Lunar Orbiter (LOLA) de la NASA .

L’équipe a découvert que le bruit électronique présent dans JUICE perturbait les mesures de RIME, ce qui a donné le coup d’envoi d’un projet de plusieurs mois visant à corriger ce problème grâce à un nouvel algorithme.

L’ESA annonce aujourd’hui que ce projet a été un succès. La nouvelle carte d’élévation du cratère Earthrise d’Anders (ci-dessus) montre des pics et des vallées qui correspondent parfaitement aux altitudes capturées par LOLA lors de précédents survols lunaires.

Ces données prouvent que RIME est prêt pour sa grande mission : cartographier les profondeurs souterraines des plus grandes lunes du système solaire et, espérons-le, contribuer à la recherche de vie extraterrestre .

Avec un long voyage devant lui, JUICE se dirige désormais vers Vénus, où la gravité de notre planète voisine stimulera la sonde sur sa route vers Jupiter.

À terme, JUICE effectuera 35 survols des lunes les plus massives de Jupiter, avant de se placer en orbite autour de Ganymède de décembre 2034 à septembre 2035, selon l’ESA .

L’étude de Jupiter et de ses lunes apportera non seulement de nouvelles connaissances sur la formation des géantes gazeuses et des systèmes planétaires en général, mais contribuera également à déceler des signes de vie et d’habitabilité sous les coquilles glacées de ces énormes lunes.

 

Le problème du « langage extraterrestre »

Publié le 11/06/2025 à 16:45 par photocosmos
Le problème du « langage extraterrestre »  
Les agroglyphes, comme celui-ci en Angleterre, sont parfois interprétés à tort comme des messages extraterrestres. Ils n’ont rien à voir avec la complexité de la théorie interuniverselle de Teichmüller, une preuve mathématique si complexe qu’elle a été surnommée le « langage des extraterrestres ». (Crédit image : Abstract Aerial Art via Getty Images)…

La théorie interuniverselle de Teichmüller, une preuve tristement célèbre qui a dérouté les mathématiciens pendant plus d’une décennie, a été partiellement résolue.

 

Imaginez ce scénario : des scientifiques ont intercepté une transmission provenant d’une race extraterrestre . Il est clair que le message provient d’un être intelligent, mais tout ce qui le concerne – la syntaxe, la grammaire, le contexte – est incompréhensible pour nous, Terriens.

C’est ainsi que la plupart des mathématiciens ressentent la théorie interuniverselle de Teichmüller (IUT), une preuve introduite par le mathématicien Shinichi Mochizuki il y a plus de dix ans pour tenter de résoudre la célèbre conjecture ABC, l’un des problèmes non résolus les plus célèbres de la théorie des nombres, qui traite de la somme des nombres premiers et a des implications sur de nombreuses autres conjectures.

L’IUT ressemble si peu aux autres branches des mathématiques qu’on l’a surnommé le « langage des extraterrestres ». Seule une vingtaine de personnes dans le monde parviennent à le comprendre un tant soit peu.

Mais aujourd’hui, un ingénieur de 28 ans, Zhou Zhongpeng, a accompli des progrès significatifs en le démystifiant.

Mochizuki a développé l’IUT au début des années 2000 et l’a publié en quatre prépublications en 2012. La preuve, longue de plus de 2 000 pages, affirme qu’elle offre une solution à la conjecture ABC.

Si elle est prouvée, cette conjecture pourrait contribuer à clarifier d’autres énigmes mathématiques majeures, comme le dernier théorème de Fermat , un théorème vieux de près de 400 ans qui stipule qu’aucun des trois entiers positifs a, b et c ne satisfait l’équation a n + b n = c n pour toute valeur entière de n supérieure à 2.

Ce théorème a été résolu pour la première fois par le mathématicien Andrew Wiles en 1995, mais le nouveau cadre de Zhou pourrait le prouver en beaucoup moins d’étapes.

Cependant, l’IUT utilise des concepts et des symboles totalement uniques dans le monde des mathématiques.

Autrement dit, Mochizuki a créé son propre langage mathématique, ce qui a déconcerté nombre des plus grands mathématiciens du monde.

Quelques courageux, dont le mathématicien Ivan Fesenko, en ont rogné des parties et ont apporté un peu de crédit aux affirmations de Mochizuki. Pourtant, malgré plus de dix ans d’existence, l’IUT n’a pas été entièrement vérifié par des pairs, car il est très difficile à comprendre.

C’est alors qu’intervient Zhou. Il a une formation en mathématiques, ayant étudié la théorie des graphes en doctorat, mais il a finalement abandonné ses études avant d’obtenir son diplôme pour travailler comme ingénieur logiciel.

Cependant, cela n’a pas diminué son intérêt pour les mathématiques pures. Il est devenu obsédé par l’IUT, étudiant la théorie pendant son temps libre malgré une semaine de travail chargée.

En cinq mois, il a détaillé plusieurs améliorations et nouvelles applications dans un article qu’il a envoyé à Mochizuki et Fesenko. Ce travail, s’il est correct, démontre la majorité des cas du dernier théorème de Fermat généralisé, en utilisant les principes de l’IUT.

Les mathématiciens furent impressionnés ; Fesenko lui proposa même de l’emmener à l’Université Westlake en Chine , où il travaille. Zhou accepta et travaille actuellement sous la tutelle de Fesenko pour approfondir la démonstration.

Les applications potentielles de ces travaux sont innombrables, allant de la cryptographie et de l’informatique quantique à une meilleure compréhension de l’espace-temps, mais seulement si elles sont compréhensibles par d’autres chercheurs.

Et certains aspects de l’IUT restent encore impénétrables. Il faudra probablement des années avant que quelqu’un ne les percevra complètement, voire jamais.

« Ces articles s’appuient sur les recherches de mes prédécesseurs ; mes travaux n’ont apporté que quelques innovations et explorations mineures, et j’espère apporter une modeste contribution au domaine concerné », a déclaré Zhou dans un message sur les réseaux sociaux .

Il y aurait 4 civilisations extraterrestres hostiles

Publié le 24/02/2025 à 15:29 par photocosmos

Il y aurait 4 civilisations extraterrestres hostiles dans la Voie lactée susceptibles d’envahir la Terre, selon ce chercheur

Un chercheur estime que la Voie lactée pourrait abriter quatre civilisations extraterrestres hostiles à notre égard. © sdecoret, Adobe Stock

Existe-t-il des planètes ailleurs que dans notre Système solaire ? La réponse est « oui ». Certaines sont-elles habitables ? La réponse est « très probablement ». Certaines sont-elles habitées ? La réponse est « possible ». Certaines de ces civilisations extraterrestres pourraient-elles avoir l’envie d’envahir la Terre ? Un chercheur livre sa réponse.

Nous le savons maintenant, la Voie lactée abrite des milliards de planètes. Parmi elles, de nombreuses sont potentiellement habitables. Mais ce que nous ignorons toujours, c'est combien sont-elles à être réellement habitées ? Et parmi elles, combien pourraient porter des civilisations extraterrestres hostiles ? Des civilisations qui pourraient nourrir à notre encontre des envies d'invasion. Quatre, répond aujourd'hui Alberto Caballero, un chercheur de l’université de Vigo (Espagne) déjà connu pour ses travaux sur le mystérieux signal « Wow ! ».

Pour en arriver à cette conclusion, le chercheur s'est littéralement mis dans la peau de ces extraterrestres. Plus exactement, il a envisagé la probabilité pour que notre propre civilisation humaine attaque une exoplanète habitée. À partir de là, il a extrapolé une estimation de la prévalence des civilisations extraterrestres hostiles.

Alberto Caballero a d'abord compté combien d'invasions avaient eu lieu sur Terre entre 1915 et 2022. Puis il a pondéré la probabilité pour chaque pays de lancer une telle attaque par les dépenses militaires mondiales. Et ajouté la probabilité de chaque pays de déclencher une invasion. Enfin, il a divisé le tout par le nombre total de pays sur Terre. Pour obtenir ce qu'il appelle « la probabilité humaine actuelle d'invasion d'une civilisation extraterrestre ». Une probabilité faible, de 0,028 % seulement.

Tenant compte du rythme de la diminution observée des invasions sur Terre depuis 50 ans, Alberto Caballero estime même que cette probabilité pourrait tomber à 0,0014 % d'ici à ce que l'humanité soit prête à se lancer dans un voyage interstellaire. C'est-à-dire, d'ici 260 ans !

Beaucoup d’hypothèses, peu de certitudes

Une probabilité extrêmement faible. Mais qui prend un autre sens lorsqu'on la met en regard des millions de planètes qui croisent dans la Voie lactée. Et même lorsqu'on l'applique au nombre de civilisations extraterrestres qui pourraient peupler notre Galaxie. Alberto Caballero a utilisé le nombre avancé par des chercheurs en 2012. Selon eux, il existerait jusqu'à 15.785 civilisations extraterrestres dans la Voie lactée.

Très peu de ces civilisations pourraient à la fois se montrer hostiles et avoir atteint le fameux niveau 1 de l'échelle de Kardachev. Un niveau qui leur autorise les voyages interstellaires. Même pas une - 0,22 pour être précis --, selon les estimations d'Alberto Caballero. Mais plus de quatre - 4,42 très exactement -- pourraient s'avérer à la fois hostiles et se trouver dans une situation technologique comparable à la nôtre.

Alors, devons-nous craindre une invasion extraterrestre ? Pas dans l'immédiat en tout cas, nous rassure le chercheur. Selon lui, nous pourrions avoir envoyé quelque chose comme 18.000 messages vers les étoiles pour que la probabilité pour que nous subissions l'attaque d'une civilisation alien resterait de l'ordre de celle de voir notre Terre heurtée par un astéroïde comme celui qui a mis fin au règne des dinosaures. Un événement qui ne se produit que tous les 100 millions d'années en moyenne.

Par ailleurs, force est de reconnaître que les travaux d'Alberto Caballero -- qui relève plus d'une expérience de pensée -- se concentrent sur une partie un peu trop réduite de l'histoire de l'humanité pour être réellement significative. Et qu'ils reposent sur de nombreuses hypothèses de développement des espèces. Ainsi que sur l'idée que les extraterrestres partageraient des valeurs similaires aux nôtres. Ce qui, bien sûr, pourrait ne pas du tout être le cas. Pour le pire... comme pour le meilleur !

 

Les gens voyaient-ils des ovnis avant le XXe siècle?

Publié le 21/01/2025 à 20:59 par photocosmos

Les gens voyaient-ils des ovnis avant le XXe siècle?

Message divin ou visite des voisins? | Getty Images via Unsplash+ © 
 

De quand date la première observation d'ovni, comprise et manifestée comme telle? Cela fait des millénaires que les hommes observent les étoiles, mais les témoignages faisant état de visites extraterrestres se sont multipliés depuis le milieu du XXe siècle. Que voyait-on avant, et comment l'interprétions-nous? La réponse à cette épineuse question n'est évidemment pas si simple. Un article de Live Science tente néanmoins de fournir quelques éléments.

 

«Il n'y a pas de consensus sur ce qui constitue la première observation d'ovni enregistrée dans l'histoire», affirme Chris Aubeck, chercheur indépendant et directeur du Magonia Exchange, un projet international d'archives sur l'histoire des ovnis. Ce flou ne vient pas du manque de récits ni de témoignages, dépeignant souvent de mystérieux objets célestes, mais plutôt de leur interprétation. Que pensaient vraiment voir les témoins de ces phénomènes?

«Il ne fait aucun doute que les êtres humains ont représenté, rapporté ou chroniqué des choses étranges et anormales dans le ciel depuis l'Antiquité», déclare Greg Eghigian, professeur d'histoire et de bioéthique à l'Université d'État de Pennsylvanie. Mais le contexte culturel, social, scientifique dans lequel elles ont été faites rend difficile toute interprétation certaine.

Selon Aubeck, «certains textes anciens, comme les tablettes cunéiformes sumériennes et babyloniennes de la série Šumma ālu et d'autres textes divinatoires datant du deuxième et du premier millénaire av. J.-C., contiennent les premiers enregistrements connus de phénomènes célestes potentiellement assimilables à des ovnis». Mais ces phénomènes étaient interprétés comme des messages divins, et non comme la visite d'extraterrestres sur notre planète.

 

Les phénomènes météorologiques ou les météores sont autant de signes qui ont souvent pris la forme de présages religieux pour nos ancêtres. «Je ne peux pas accorder beaucoup de crédit à ces récits, car ils sont complètement décontextualisés de la société qui les a produits», affirme Eghigian. Comment distinguer alors les mythes culturels et les témoignages individuels visant à décrire des phénomènes inexpliqués?

Soucoupe et paranoïa

«Un exemple marquant est celui de Nuremberg, en Allemagne, où des habitants ont rapporté un étrange combat aérien le 14 avril 1561. Ils décrivirent avoir vu des orbes, des croix, des cylindres et un mystérieux objet noir en forme de flèche géante, qui se serait écrasé au loin», raconte Live Science. Un artiste local, Hans Glaser, immortalisa l'évènement sur une gravure sur bois et le décrivit ainsi: les objets «se mirent tous à se combattre les uns les autres» avant de tomber sur Terre dans un nuage de fumée. Pas d'ovnis mentionnés ici donc, mais une incompréhension totale: «Quoi que signifient de tels signes, seul Dieu le sait.»

 

Pas de quoi considérer ce témoignage comme celui d'une apparition d'ovnis telle qu'on l'entend aujourd'hui. L'idée de civilisation extraterrestre n'est pourtant pas récente: «Ce qui n'était pas courant, c'était de dire que des extraterrestres nous rendaient visite», tempère Eghigian. Pour lui, il faut attendre 1947 pour trouver la première trace incontestable d'un phénomène attribué à une visite venue d'ailleurs.

En juin de cette année là, un pilote amateur nommé Kenneth Arnold survole le mont Rainier, dans l'État de Washington. Il ouvre l'œil car il cherche un avion cargo accidenté, mais ce qu'il voit est bien différent: neuf objets volants, en formation, filant à grande vitesse. D'abord persuadé d'assister à des tests militaires secrets, Arnold partage ce qu'il a vu dans un journal local. Il explique avoir vu comme une «soucoupe glissant sur l'eau», formule transformée par le journaliste en «soucoupe volante».

 

Quelques mois plus tard, les témoignages similaires se multiplient. Aurait-on trouvé notre réponse? Aubeck le pense: «Cet événement est largement reconnu comme le point de départ de la culture moderne des ovnis», même si, comme le précise Eghigian, l'hypothèse extraterrestre n'a pas immédiatement été avancée. Dans le climat de paranoïa et de suspicion de l'époque, on était plus prompts à accuser les soviétiques (ou l'armée américaine).

«L'étude des observations d'ovni est précieuse, car elles représentent les légendes urbaines de notre époque, conclut Aubeck. Elles nous permettent d'examiner l'interaction entre l'imagination humaine et l'observation, et ainsi de comprendre comment les récits culturels façonnent notre perception des phénomènes inexpliqués.»

 

Des extraterrestres existent dans un univers parallèle

Publié le 18/12/2024 à 15:19 par photocosmos
Des extraterrestres existent, mais dans un univers parallèle 
Daniele Sorini et son équipe suggèrent de reformuler l’équation de Drake en considérant la possibilité que des univers parallèles seraient plus susceptibles que le nôtre d’abriter une civilisation intelligente. | Casey Horner via Unsplash+

Modifier une équation de 1960 et approfondir notre compréhension de l’énergie noire ouvrent le champ des possibles.

 

Il arrive de se cacher de ses voisins pour éviter d’avoir à les saluer d’un bonjour un peu gêné ou de se prendre une réflexion sur la musique trop forte. Tant et si bien que nous ne les croisions jamais.

À une plus grande échelle, celle de l’univers, la situation pourrait être quelque peu similaire avec les extraterrestres: des scientifiques suggèrent que nous ne les avons pas encore rencontrés car ils se cacheraient dans un univers parallèle.

Un article du média Futurism nous apprend qu’une équipe de chercheurs dirigée par Daniele Sorini, astrophysicien à l’Université de Durham, a imaginé une nouvelle version de l’équation de Drake.

Celle-ci, proposée en 1961 par le radioastronome Frank Drake, a pour objectif d’estimer le nombre de civilisations extraterrestres présentes et localisables dans notre galaxie.

Cette équation prend en compte un certain nombre de paramètres, comme le taux de formation d’étoiles adaptées au développement de la vie, le nombre potentiel d’étoiles avec un système planétaire habitable, ou encore le nombre de ces planètes permettant l’apparition de la vie intelligente civilisée.

Dans leur étude publiée le 13 novembre 2024, Daniele Sorini et son équipe proposent de reformuler l’équation en considérant la possibilité que des univers parallèles seraient plus susceptibles que le nôtre d’abriter une civilisation intelligente.

Cela pourrait contribuer à expliquer pourquoi nous n’avons pas encore établi de contact avec des extraterrestres.

L’équilibre de l’énergie noire à l’origine de toute vie?

L’équipe de Sorini indique également que l’énergie noire aurait un rôle. Cette force mystérieuse, responsable de l’accélération de l’expansion de l’univers, façonne indirectement les conditions nécessaires à la formation des étoiles et des planètes.

Les scientifiques ont découvert qu’un univers, pour construire des étoiles, a besoin d’un équilibre précis de l’énergie noire. Pour le bon développement d’étoiles, et donc d’une vie extraterrestre, la densité d’énergie noire transformée devrait s’élever à 27%.

Or, dans notre univers, cette densité s’élève à 23%, ce qui expliquerait pourquoi il n’y a pas d’autres traces de vie que sur Terre. Dans un communiqué lié aux recherches, Daniele Sorini écrit: 

«Avec surprise, nous avons constaté que même une densité d’énergie noire élevée serait toujours compatible avec la présence d’une vie. Ça suggère aussi que nous ne vivons peut-être pas dans le plus agréable des univers.»

L’idée que des extraterrestres se cachent dans un univers parallèle est un peu farfelue, digne d’une suite de la saga Marvel. Mais pour Daniele Sorini et son équipe, cela permet de concilier la physique moderne avec les recherches d’une vie au-delà de notre planète.

Son coauteur Lucas Lombriser, professeur de cosmologie à l’Université de Genève, déclare ainsi: 

«Il sera passionnant d’utiliser notre modèle pour explorer l’émergence de la vie dans différents univers et de voir si certaines questions fondamentales que nous nous posons sur notre propre univers doivent être réinterprétées.».

(Source : Slate)

Abductions et extraterrestres, place au doute !

Publié le 15/12/2024 à 19:40 par photocosmos
Abductions et extraterrestres, place au doute !
Image IA

Soudés, mais troublés. Comment ne pas douter ? L’épisode 5 explore l’union entre les personnes abductées. Le CERO organise un séjour pour permettre l’échange et avancer sur la recherche de la question des abductions.

 

À travers des témoignages intenses, les protagonistes décrivent des événements marquants, souvent douloureux, qui soulèvent de nombreuses questions sur la nature des contacts avec ces êtres, la dimension hybride de leur existence, et l’impact sur leur vie quotidienne.

Ces expériences sont aussi un miroir de leurs réflexions sur leur place dans l’univers et la quête de réponses, malgré la souffrance et les doutes.

Disent-ils la vérité ? Souffrent-ils de maladie mentale ? Est-il possible que des humains soient réellement enlevés par des êtres venus d’ailleurs ? Cette série documentaire explore ces questions.

Le futur des contacts extraterrestres

Publié le 15/12/2024 à 19:20 par photocosmos
Le futur des contacts extraterrestres
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Cet épisode clôt la série en abordant les nouvelles perspectives qui s’ouvrent après les expériences vécues par les protagonistes.

 

Ils réfléchissent à ce que ces contacts extraterrestres signifient pour l’avenir, tant sur le plan personnel que collectif.

Cet épisode met en lumière la transformation intérieure et spirituelle des personnes touchées par ces phénomènes, les laissant avec de nouvelles interrogations sur leur identité et leur place dans l’univers.

Cette dernière étape souligne la possibilité d’une réconciliation entre leur humanité et leur connexion avec des entités exogènes, tout en laissant la porte ouverte à des développements futurs.

Peut-on provoquer la rencontre et inverser les dynamiques de contacts ?


À ce jour, aucune preuve physique n’existe sur la réalité des contacts extraterrestres. Seuls la parole et le récit des victimes nous donnent un aperçu du phénomène.

Extraterrestres : quelles sont leurs intentions

Publié le 09/12/2024 à 19:36 par photocosmos

Extraterrestres : quelles sont leurs intentions

Image IA.

Des témoins racontent leurs rencontres avec des êtres extraterrestres, l’impact de ces événements dans leur vie qui peut aller jusqu’à la volonté d’y mettre fin. Une association voit le jour le CERO qui a pour mission d’aider ces personnes.

 

On suit un groupe de paroles, des psy sont présents pour entendre, calmer peurs et confusions mais invitent également à plonger au cœur de l’expérience d’abduction pour la revivre.

Quelles sont les intentions, quels sont les agendas de ces espèces aliens ?

Disent-ils la vérité ? Souffrent-ils de maladie mentale ? Est-il possible que des humains soient réellement enlevés par des êtres venus d’ailleurs ? Cette série documentaire explore ces questions.

les aliens manipulent notre ADN

Publié le 09/12/2024 à 19:23 par photocosmos
 les aliens manipulent notre ADN 
Image IA.

Découvrez plus en détail la question de l’agenda alien. Un hypnothérapeute de renommée internationale travaille sur les enlèvements extraterrestres depuis des décennies. Selon lui, ce phénomène serait mondial.

 

Nos témoins tentent de vivre avec cette réalité, remise en question bien souvent par leur entourage. Lors d’une regression hypnotique, l’un des témoins découvre qu’il a un lien intime avec ses ravisseurs de l’espace.

À ce jour, aucune preuve physique n’existe sur la réalité des contacts extraterrestres. Seuls la parole et le récit des victimes nous donnent un aperçu du phénomène.

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