FAMILLE ENFANTS DU MONDE
Publié le 30/07/2025 à 16:44 par photocosmos
Journée des cousins et cousines 
Le 24 juillet célèbre ces partenaires de bêtises, de fous rires et de souvenirs partagés : nos cousins et cousines. Ceux qui ont rendu les vacances d’été inoubliables, les repas de famille un peu plus vivants, et les jeux de cour de récré encore plus fous.
Les liens entre cousins, c’est un mélange d’amitié et de famille. Même si la vie nous éloigne parfois, il suffit d’un message ou d’un clin d’œil à un souvenir d’enfance pour que tout revienne. Pas besoin d’occasion spéciale : cette journée est un bon prétexte pour se retrouver, virtuellement ou en vrai.
Sur la photo, une famille de langrayens bruns, blottis sur une branche, nous rappelle cette tendresse fraternelle. Ces oiseaux aiment vivre ensemble, se suivre, se percher côte à côte. Un peu comme nous, en somme, quand on retrouve nos cousins autour d’un repas, d’une blague ou d’un simple souvenir.
Publié le 13/06/2025 à 14:43 par photocosmos
Je vous présente Maria et Lucy, des jumelles biraciales souvent prises pour des amies plutôt que pour des sœurs, en raison de la différence de leur couleur de peau.
Ces deux magnifiques jeunes filles, originaires du Royaume-Uni, sont nées d’un père blanc et d’une mère partiellement jamaïcaine.
Depuis leur enfance, elles ont l’habitude d’être confondues à tort avec des amies, ce qui complique parfois leur explication aux autres.
« Personne ne croit que nous sommes jumelles parce que je suis blanche et Maria est noire, » confie Lucy. « Même lorsque nous portons les mêmes vêtements, nous ne ressemblons toujours pas à des sœurs, encore moins à des jumelles. »
La mère, quant à elle, a été profondément bouleversée et sans voix lorsque la sage-femme lui a tendu ses deux bébés. Ce choc a dû être immense, d’autant plus que la différence de couleur de peau n’est pas détectable lors des examens prénatals.
Publié le 18/04/2025 à 16:41 par photocosmos
À 11 ans, ce garçon a été abandonné par sa famille biologique et sa famille adoptive. Ses parents adoptifs l'ont laissé à l'hôpital et ne sont jamais revenus. Un jour, j'ai reçu un appel de mon assistante sociale me demandant : « Pouvez-vous accueillir un garçon de 11 ans, juste pour le week-end ? » Sa famille biologique l'avait quitté alors qu'il n'avait que 2 ans, et maintenant, après 9 ans dans sa famille adoptive, sa nouvelle famille a fait la même chose. Ils lui avaient promis une famille pour la vie, mais ces promesses ne signifiaient rien. Il était abandonné comme un objet, et cette pensée me brisait le cœur.
Je n'arrivais pas à y croire. « Où ira-t-il ? » demandai-je. Il n'y avait pas de famille vers qui se tourner, pas de foyer d'accueil disponible. « Il sera placé dans un foyer de groupe », m'a dit l'assistante sociale. Je ne pouvais pas laisser cela se produire. Je ne pouvais pas supporter l'idée qu'il soit envoyé dans un foyer de groupe après tout ce qu'il avait déjà traversé. J'ai donc pris la décision de l'accueillir chez moi.
Et quand il m'a demandé : « M. Peter, puis-je vous appeler mon papa ? » Je n'ai pas pu retenir mes larmes. Mon cœur s'est brisé pour lui, mais j'ai su que je serais là pour lui.
Crédit au propriétaire d'origine.
merci a lare
Publié le 28/01/2025 à 21:12 par photocosmos
Ah, ces jeunes !
Pas les glandeurs qui passent leur temps à scroller des vidéos absurdes, non. Je parle de ceux qui utilisent leur smartphone comme une arme d’instruction massive. Vous savez, ces jeunes qui "se cultivent" à longueur de journée, si bien qu’ils ne lèvent même pas les yeux pour dire bonjour à leur propre famille. Certains s’instruisent même pendant le repas. Une vraie dévotion à l’apprentissage !
J’ai eu la preuve formelle de leur immense savoir en regardant une célèbre émission de variété. L’un de ces génies modernes était candidat. Treize questions au programme, dont la plupart étaient plus tordues que les étiquettes des règles d'administration fiscale. Mais rien ne l'arrêtait ! Ce jeune prodige a trouvé la bonne réponse à une question incroyable :
– Quelle est la dernière lettre d’"autobus" ?
Sans hésiter, il a répondu : "S". Et figurez-vous, c'était bon ! C’est pas donné à tout le monde d’avoir ce niveau d’analyse… ou de chance.
Bien sûr, sur le reste, il a eu un peu plus de mal. Mais ce n’est pas facile quand on est bombardé de questions si délicates :
- Quel nom de sandale rime avec "chaussette" ? (C’est vrai que celles-là, on n’y pense pas tous les jours.)
- Comment appelle-t-on une petite statue ? (Non, ce n’est pas "mini-sculpture". Dommage.)
- Combien de litres dans 100 cl ? Réponse : 10 litres. Il avait sûrement une règle de trois un peu trop innovante.
Et le clou du spectacle :
- Quel est le nom du couvre-chef du Pape, qui rime avec "culotte" ? Réponse : une hotte.
Peut-être que ce jeune pensait à la tenue du Père Noël ? Mystère.
Alors oui, on peut se moquer, mais ne perdons pas de vue une chose : ces jeunes ont parfois des éclairs de génie qui nous laissent sans voix... même si, parfois, ce sont plutôt des éclats de rire !
Nous, les retraités, on n’a peut-être pas grand-chose dans nos porte-monnaie, mais on se rattrape en accumulant des trésors de rigolade. Cela dit, restons discrets : si nos politiques entendent qu'on s’amuse trop, ils risquent encore de baisser le niveau des écoles pour qu'on éclate de rire... jusqu'à s'étouffer !
Claude SAINT ETIENNE
Publié le 16/05/2024 à 20:05 par photocosmos
Mes enfants, je vous présente vos Grand Mères !!!
Publié le 15/05/2024 à 15:06 par photocosmos
Sandra Giessinger : sa fille la guide depuis l’au-delà
Collection personnelle Sandra GiessingerAxelle décède le jour de ses vingt ans dans un accident de voiture. Sa mère Sandra recevra tant de signes de sa présence depuis l’au-delà qu’elle vivra le deuil autrement.
Perdre un enfant est ressenti comme l’une des épreuves les plus difficiles qu’un être humain puisse traverser sur cette Terre. C’est ce à quoi seront confrontés Pascal et Sandra sur leur chemin de vie, ce 12 octobre 2019, alors qu’Axelle les rejoint, eux et son frère Thibaud, afin de fêter son anniversaire.
Bien sûr, la famille est anéantie et s’emploie à vivre les étapes du deuil comme elle le peut. Cependant, Sandra veut absolument et « irrationnellement » avoir des nouvelles de sa fille.
« Dans plusieurs livres, je lis qu’il faut que mes vibrations augmentent. Pour y parvenir, il faut que je m’ouvre totalement à la spiritualité et ainsi être en mesure d’entrer en contact avec Axelle », écrit-elle dans son livre témoignage.
Cela va commencer par un rêve extrêmement fort dans lequel Axelle rend visite à Sandra et l’invite à lui faire confiance :
« Maman, fais-moi confiance, tu comprendras tout. Tu te rappelleras et tu sauras pourquoi tout est ainsi. On se retrouvera. Tu seras heureuse. Fais-moi confiance »,
et se poursuivra par une séance avec une médium qui lui transmet des messages très clairs et l’invite à prêter attention aux signes revêtant une forme de cœur.
Et les synchronicités se succèdent. Axelle rend aussi visite à la sœur de Sandra en rêve, et a curieusement laissé un nombre incalculable d’encouragements dans sa chambre, sous forme de messages qu’elle écrivait dans un carnet gris et de dessins… que sa mère découvre et décrypte au fil des jours.
« Je ne veux pas d’une explication rationnelle. Rien de ce que je vis n’est rationnel. La probabilité que je retrouve ces messages à ces instants et que les réponses à mes questions s’y trouvent est de l’ordre du ressenti, de l’ordre d’une communication d’âme à âme… », écrit-elle.
Va s’ensuivre un véritable chemin pour Sandra, avec le deuil d’un côté, mais aussi l’ouverture aux champs subtils, en acceptant d’accueillir les messages et les présences.
Si les débuts la surprennent, au fur et à mesure, elle décryptera les signes particuliers et sensibilisera son fils et son mari à faire de même.
Des médiums lui disent aussi qu’un jour, l’écriture lui permettra de maintenir ce lien. Pourtant, guidée par les messages de sa fille, Sandra comprend qu’elle doit laisser Axelle partir vers la lumière :
« Axelle œuvre tellement à nous faire comprendre qu’elle est toujours là que je ne peux pas en douter. Doucement, les choses changent. Petit à petit les signes s’estompent. Comme si elle voulait me faire savoir que maintenant je n’ai plus besoin de croire. Je sais. Le doute n’existe plus alors j’accepte de vivre cette relation. Autrement. Je comprends que je dois apprendre à vivre sans elle physiquement, mais sa présence intérieure se fait de plus en plus grande. »
Une rencontre avec deux autres mamans endeuillées, Caroline et Hélène, sera à l’origine de la création d’une association, Les mamans lumineuses et les papas aussi, dédiée aux parents qui ont perdu un enfant afin de les accompagner, mais dont le but est aussi d’organiser des conférences et des ateliers pour tous les parents en France et en Belgique.
L’association porte le Projet Axelle, une liste de six propositions visant à répondre au vide administratif, psychologique et financier dans lequel se retrouvent les parents endeuillés. Quel chemin parcouru !
(Source ; INREES)
Publié le 12/03/2024 à 16:23 par photocosmos
Des centaines de sosies sans lien de parenté s’assoient pour les portraits étranges
Photos : François BrunelleAvons-nous tous un double ? Le photographe montréalais François Brunelle est intrigué par cette question depuis qu’il a lancé sa série I’m Not a Look-Alike en 1999, qui rassemble deux personnes sans lien de parenté qui se ressemblent tellement qu’elles pourraient être des jumeaux.
Depuis, il a découvert des centaines de sosies à travers le monde et pris des portraits minimes en noir et blanc d’environ 250 couples dans 32 villes.
La recherche d’un « étranger jumeau » a également donné naissance à des bases de données en ligne entières dédiées à la recherche de sosies grâce à des logiciels de reconnaissance faciale.
C’est cette fascination durable qui a attiré une attention considérable à Brunelle pour ce projet qui dure maintenant depuis plusieurs décennies, et qui a également déclenché des efforts tangentiels axés sur la recherche de doubles exclusivement en Colombie et en Espagne.
Brunelle travaille actuellement sur un livre et une exposition complémentaire pour le projet, et vous pouvez suivre les mises à jour à ce sujet et en savoir plus sur la série I’m Not a Look-Alike sur son site et Instagram .
Publié le 20/02/2024 à 16:46 par photocosmos
La fabuleuse histoire du mariage : des origines à aujourd’hui !
On peut définir le mariage comme l’union contractuelle et rituelle entre deux individus, une communauté de vie encadrée par des règles juridiques et parfois religieuses. Mais savez-vous réellement d’où vient le mariage et depuis quand il existe ?
Le jour de votre noce, vous comptez bien respecter toutes ces traditions qui vous font rêver ! C’est ainsi que vous porterez avec fierté une belle robe de mariée blanche et que les alliances ne manqueront pas à l’appel, pas plus que la pièce montée ou les discours de mariage. Si les us et coutumes du mariage vous intéressent, vous aurez certainement envie d’en savoir plus sur les origines de cette tradition millénaire et ses évolutions. C’est ce que nous vous proposons de découvrir aujourd’hui à travers cette petite histoire du mariage d'hier à nos jours !
Antiquité
Si l’on ne trouvait pas à cette époque les mêmes robes de mariée en dentelle que celles d'aujourd'hui, la pratique du mariage existait déjà à ce moment-là. Dans l’Égypte ancienne, on se mariait pour imiter les divinités qui allaient presque toutes par paires.
En Grèce antique, l’union entre homme et femme était vue comme nécessaire à la survie de l’espèce. C’était alors au père de choisir pour sa fille un mari qu’elle ne rencontrerait que le jour de son mariage.
Bien loin des déclarations d’amour et demandes en mariage originales, il s’agit ici d’un contrat établi entre deux familles pour leurs bénéfices réciproques scellé par l’apport d’une dot de la part de la famille de la mariée.
En Rome antique, le mariage connaît déjà une série de rituels comme l’enlèvement de la mariée par les amis du mari en fin de repas de noce ou encore le fait de porter la mariée sur le pas de la porte pour éviter qu’elle ne trébuche.
Les fiançailles sont ici plus importantes que le mariage en lui-même et pour la première fois un anneau de fer est échangé, ancêtre lointain de nos alliances actuelles.
Moyen-Âge
Le christianisme s’empare de l’institution du mariage et en fait l’un des grands sacrements au même niveau que le baptême ou encore l’Eucharistie. Contrairement à l’Antiquité où le contrat de mariage était une affaire privée, la publication des bans devient ici obligatoire, notamment pour lutter contre les mariages clandestins.
Le mariage connaît plusieurs évolutions au cours de cette période et ce n’est qu’en 1542, à l’occasion du Concile de Trente, qu’il est établi que l’union devra obligatoirement être célébrée par un curé et en présence de témoins.
Si au cours de l’Antiquité il était possible de rompre cet engagement, le mariage devient ici indissoluble. Le mariage religieux est le seul qui existe, les prêtres tenant eux-mêmes les registres d’état civil.
Temps modernes
Si l’on parle déjà au Moyen-Âge de mariage consensuel, il faudra attendre le XVIIIème siècle pour voir apparaître une réelle idée de libre consentement et de mariage d’amour. On est cela dit encore bien loin des bouquets de roses et autres textes d'amour, l’idée de consentement libre connaissant de farouches opposants. On peut cependant parler des prémices d’une révolution sentimentale.
Le mariage d’amour va se substituer petit à petit au mariage de convenance au cours du XIXème siècle, dans un même élan de recherche de plus d’égalité entre hommes et femmes.
C’est d’autre part en 1792 que le mariage civil est instauré pour la première fois et qu’il devient obligatoire de s’unir civilement avant de pouvoir s’unir religieusement. Il faudra attendre 1884 pour que le divorce devienne une démarche légale.
De nos jours
Le mariage comporte depuis toujours un ensemble de droits et de devoirs comme la fidélité, la solidarité et l’assistance entre les époux.
Si certaines règles sont restées les mêmes au fil des années, d’autres ont évolué avec le temps comme par exemple le fait qu’il est aujourd’hui possible pour les couples de même sexe de se marier.
C’est le cas en France depuis 2013 et l’adoption de la loi 2013-404 ouvrant le mariage aux couples de personnes de même sexe.
Depuis 1999, il est également possible pour les couples hétérosexuels comme homosexuels de conclure un Pacs (Pacte civil de solidarité), une union civile représentant une alternative au mariage ou une première étape avant ce dernier.
Il s’agit également ici d’un contrat fait de droits et de devoirs permettant d’organiser la vie commune du couple, dans une forme cependant plus souple que celle du mariage.
merci a marie daurage et Marion Dessard
Publié le 13/02/2024 à 20:37 par photocosmos
noms de famille les plus portés en France
En France, les noms de famille sont apparus au dixième siècle, notamment en raison de l’accroissement de la population. À l’origine, les individus prenaient comme nom une référence au prénom de leur père ou une indication sur le lieu de vie, un métier ou une caractéristique physique. Quatorze siècles plus tard, on retrouve encore ces patronymes typiques dans le top 10 des noms de famille les plus portés dans l’hexagone.
Les noms de famille ont vu le jour pendant le Moyen Âge. Cependant, c’est lors de la Révolution française que ces derniers ont été rendus obligatoires. Aujourd'hui, il serait difficile d’imaginer sa vie sans un nom accolé à son prénom. Il est indissociable de l’identité d’une personne et relève indispensable pour n’importe quelles tâches administratives.
malgré les changements de populations au cours de l’Histoire, les noms les plus portés en France sonnent encore bien français. Dans l’ordre, nous retrouvons au trois premières places : Martin, Bernard et Thomas. Le reste de ce top 10 se compose de : Petit, Robert, Richard, Durand, Dubois, Moreau et Laurent.
Le numéro un, le nom “Martin”, vient par exemple du prénom latin “Martinus”. Il est dérivé du dieu romain de la guerre Mars. Sa forte popularité a également été influencée par Saint Martin de Tours. Ce saint a joué un rôle important dans l’évangélisation du pays. Le fait que ce nom de famille soit encore le plus porté aujourd’hui souligne l’impact de la religion chrétienne en France.
le nom “Petit”, quant à lui, montre cette ancienne pratique à nommer les gens d’après leur caractéristique physique. On l’attribuait probablement aux gens de petite taille ou alors pour différencier un père et un fils portant le même prénom. Dans le même esprit, on retrouve “Moreau” qui vient du mot “more”. En vieux français, ce dernier désigne ce qui est noir ou brun. Ils devaient être donnés à des personnes à la peau foncée ou à la chevelure sombre.
Certains patronymes témoignent aussi des mouvements de populations en Europe. Le nom “Richard” est d’origine allemande et signifie “roi courageux”. Idem pour “Bernard” qui vient de “Bernhard” et qui peut se traduire par “fort comme un ours”.
Et puis, il y a les noms faisant référence à une zone géographique comme “Dubois”. À l’époque, ce sont les personnes vivant près d’un bois ou qui travaillent cette matière naturelle qui héritent de ce nom.
La France compte plus de 1,2 million de noms de famille différents
Évidemment, de nos jours, ces patronymes n’ont plus aucun lien avec les gens qui les portent. On peut s’appeler Monsieur Dubois et vivre en plein centre de Paris ! La France a par ailleurs connu une forte évolution en termes de diversité à ce niveau. En 1990, après avoir doublé en un siècle, le pays comptait 1,2 million de noms différents !
Publié le 07/01/2024 à 20:11 par photocosmos
Avez-vous déjà vu quelqu'un mourir, ou été témoin de quelque chose qui a causé la mort de quelqu'un ? Comment avez-vous géré la situation ?
Oui moi , j ai eu cette chance.… si on peut dire...et l horreur en même temps
