PERSONNAGES ATYPIQUE

Parce que "Mère" Teresa, (de son vrai nomAnjezë Gonxhe Bojaxhiu) est probablement la plus grosse imposture de notre siècle.

C'est une femme qui a été canonisée par l'Église catholique et qui a reçu de nombreux prix (dont le Nobel de la paix). Elle est souvent dépeinte comme une sainte qui a donné sa vie pour sauver les pauvres mais la vérité est loin d'être aussi lisse.

Premièrement, les conditions sanitaires dans lesquelles elle opérait étaient clairement insalubres.

Vous vous dites peut-être que ces conditions peu convenables étaient inévitables sachant que Mère Teresa eut fait vœux de pauvreté ; le problème c'est qu'elle était en réalité pétée de thune.

Un compte épargne tellement bien garni qu'il est dit qu'elle aurait pu mettre en faillite la banque en retirant tout son argent d'un coup. Oui.

Le chiffre exact est inconnu mais je vous laisse imaginer le montant du pactole…

Mais ce n'est pas ça le pire.

Le pire c'est que sous l'apparence d'une gentille vieille dame, pieuse et altruiste, se cachait en réalité un monstre égoïste et vil.

Elle était plus intéressée à accueillir des âmes à l'article de la mort et a vite les convertir (en leur promettant une vie après la mort, j'imagine) - afin de faire gagner des convertis à l'Église - qu'à vraiment s'occuper des gens.

A mesure que la notoriété de Gonxhe Agnes Bojaxhiu augmentait, «ses méthodes rudimentaires ou ses sources de financement lui ont valu des critiques et parfois même des attaques acerbes». Elle avait en effet «le capital politique, la bonne volonté de tant de gens à travers le monde, l’oreille des présidents, l’argent… Elle aurait pu user de son influence pour chercher des solutions plus durables», explique une sœur missionnaire de la Charité: son objectif «n’était pas d’éliminer la pauvreté mais de sauver des âmes» dit-elle.

 

Elle avait pour habitude de dire que "la souffrance rapprochait de Dieu" et de ce fait refusait de fournir des soins de confort à ses mourants. Selon ses propres mots, elle dirigeait un "mouroir" et non un "hôpital" et ne se sentait donc pas en devoir de soigner qui que ce soit. Les aiguilles et autres matériels de soin n'étaient pas désinfectés, simplement lavés à l'eau chaude.

Bizarrement, quand elle-même est tombée malade, elle s'est envolée en Europe dans des cliniques privées afin de bénéficier des meilleurs soins possibles. Tout d'un coup, souffrir ne rapprochait plus de Dieu et il fallait qu'elle se remette sur pied au plus vite.

Comme l'a très justement décrit Christopher Hitchens dans son article :

"Mère Teresa n'est pas l'amie des pauvres mais de la pauvreté"

À méditer.

Notes de bas de page