Thèmes

air amis amour animal animaux art article artiste background belle blog bonne

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· DIAPORAMA-PPS (817)
· ARTS ORIGINAL (1498)
· ARTISTES PEINTRES-DESSINATEURS (1156)
· PHOTOGRAPHES CONFIRMES (1388)
· ANIMAUX DIVERS (1161)
· MON AMI CLAUDE-VIDEOS-BLOGUES (1992)
· CHANSON-UNE CHANSON UNE HISTOIRE (923)
· MON AMIE MONIQUE D.-VIDEOS-BLOGS (1795)
· HUMOUR SEXY-BLAGUES (299)
· PARIS LIEUX ET MONUMENTS (1026)

Rechercher
Derniers commentaires

bonjour josy merci a toi ,je ne sais pas qui tu es mais c'est gentilde venir me saluer a mon tour de te souh
Par photocosmos, le 22.11.2025

bonjour je viens te souhaiter une excellente journée bise de josy
Par Crystal46 , le 22.11.2025

ce n'est pas "à la lippe indolente" mais "à la lippe zinzolin". ne serait-ce que pour la rime avec "aquilin"..
Par Anonyme, le 20.11.2025

elle est super belle rayonnante dans une telle tenue meri anonyme ! http://photoco smos.centerblo g.net
Par photocosmos, le 20.11.2025

une anecdote intéressante sur la résistance individuelle des français face au nazisme. comm e quoi il est enc
Par Anonyme, le 20.11.2025

Voir plus

Articles les plus lus

· RETROUVEZ VOTRE PHOTO D'ECOLE
· PERE NOEL ET L'HUMOUR
· LES PLUS BEAUX VILLAGES D'ITALIE
· UNE CHANSON COQUINE
· humour sexy

· BERNARD BUFFET PEINTRE FRANCAIS-1
· DESSINS COQUINS SEXY HUMOUR
· POEME DE JACQUES CHARPENTREAU
· COLLECTION VETEMENTS POUR CHATS
· Nadine Morano filmée en plein ébat sexuel
· NAZARE AU PORTUGAL
· HUMOUR HI HI LES 10 COMMANDEMENTS CORSES
· TAJ MAHAL HISTOIRE
· alison botha miraculée !
· LES PLUS BEAUX YEUX DU MONDE-1

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 20.01.2011
Dernière mise à jour : 02.12.2025
49386 articles


un camion pris pour une technologie extraterrestre

Publié le 18/03/2024 à 14:45 par photocosmos

un camion pris pour une technologie extraterrestre par des scientifiques ! 

Des chercheurs de l’université Johns Hopkins (États-Unis) avancent que le signal suivi par l’équipe d’Avi Loeb pour retrouver les restes d’une supposée technologie extraterrestre au large de la Papouasie–Nouvelle-Guinée n’était en fait autre que celui d’un camion circulant sur une route voisine. © Bob Orsillo, Adobe Stock

Il y a quelques mois, Avis Loeb, un astrophysicien de l’université de Harvard, annonçait avoir probablement découvert des restes d’une technologie extraterrestre au fond de l'océan Pacifique. Mais des chercheurs avancent aujourd’hui que le signal qui a guidé son équipe jusqu’à eux n’était autre que celui… d’un camion !

En janvier 2014, une météorite pas tout à fait comme les autres frappait la Terre au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. C'est la première à ce jour identifiée comme d'origine interstellaire. Mais elle a surtout fait parler d'elle parce qu'Avi Loeb, un astrophysicien de l'université de Harvard (États-Unis), y avait vu une technologie extraterrestre qui se serait écrasée dans l'océan Pacifique. Il avait même monté une expédition sur place pour en récupérer des restes. Et présenté, à son retour, des sphérules métalliques trouvées au fond de l'océan comme « ne ressemblant ni à des fabrications humaines ni à des sources astrophysiques connues ».

La sismologie pour retrouver la trace de la météorite

Des chercheurs avaient émis de sérieux doutes à ce sujet.

Et des travaux présentés par des sismologues de l'université Johns Hopkins (États-Unis) pourraient bien porter aujourd'hui un coup fatal à la démonstration d'Avi Loeb. Ils ont en effet étudié le signal sismique enregistré dans une station de l'île de Manus au moment de l'entrée dans notre atmosphère de la désormais fameuse météorite interstellaire. Ou du moins, le signal que les scientifiques lui ont longtemps attribué.

Illustration of a fast blazing asteroid meteor over Earth

« Ce signal ne présente aucune des caractéristiques que nous attendons pour un météore, assure Benjamin Fernando, sismologue à l'université Johns Hopkins dans un communiqué avant d'en parler à l'occasion de la Luna and Planetary Science Conference de Huston (États-Unis), ce 12 mars 2024. Il change de direction au fil du temps. Et il suit exactement le tracé d'une route qui passe par là ». Ce que le sismomètre a enregistré, ce n'est donc pas une technologie extraterrestre, mais bel et bien... un camion !

Image du site Futura Sciences

Ici, une vue de la zone avec la station sismique de l’île de Manus et la route qui passe à proximité. © Roberto Molaire Candanosa, Bejamin Fernando, Université Johns Hopkins, Cnes, Airbus/Google

Une erreur de localisation qui sonne le glas des espoirs de découverte de reste extraterrestres

Comprenons-nous bien. Une météorite a bel et bien traversé le ciel de Papouasie–Nouvelle-Guinée il y a 10 ans. Mais ce que ces résultats suggèrent, c'est qu'elle ne s'est pas écrasée là où l'équipe d'Avi Loeb est allée chercher ses sphérules. « Ils ont suivi le mauvais signal. Et ils ont ensuite cherché au mauvais endroit », estime Benjamin Fernando. Des données issues de stations en Australie et aux Palaos montrent que la météorite en question s'est sans doute abîmée à plus de 160 kilomètres de là.

L’astrophysicien Avi Loeb a-t-il trouvé les restes d'une technologie extraterrestre au fond de l'océan Pacifique ?

Des chercheurs qui ont sondé le fond du Pacifique ont remonté de toutes petites billes, des sphérules, qu'ils voient comme autant de preuves d'une technologie extraterrestres issue d'une vaisseau spatial écrasé sur Terre en 2014.

Image du site Futura Sciences

Avi Loeb et son équipe imaginent avoir trouvé des preuves de l’existence d’une vie extraterrestre au fond de l’océan Pacifique. Leurs affirmations résisteront-elles à des analyses poussées ? © Microsoft Bing, créateur d’image DALL-E

En 2014, un objet mystérieux frappait la Terre quelque part au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Un objet fonçant à quelque 180 000 km/h. Son nom officiel : Cneos 20140108. Il est finalement devenu le premier identifié par les autorités comme une météorite d'origine interstellaire. Ce qui lui avait valu alors le nom de IM1 pour Météorite interstellaire 1. Mais cela n'était pas suffisamment exceptionnel pour Avi Loeb, cet astrophysicien de l'université de Harvard (États-Unis) connu pour ses prises de position sans beaucoup de nuances. Pour lui, il devait s'agir d'autre chose. De plus. D'un morceau d'une technologie extraterrestre qui aurait malencontreusement fini sa course dans l'océan Pacifique.

Pour le prouver, Avi Loeb a conduit une expédition sur place. Au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Grâce à un puissant aimant, l'équipe a récupéré pas mal de ce qui est présenté comme des restes de l'objet, de la météorite IM1. Et notamment, des sphérules métalliques. Des petites billes d'un demi-millimètre de diamètre.

Il est intéressant à ce stade de noter que plusieurs expéditions ont déjà trouvé, au fond des océans, des sphérules en provenance directe de l'espace. La première d'entre elles remonte aux années... 1870 ! Le HMS Challenger avait remonté à la surface des « sphérules cosmiques ». Elles doivent leur forme particulière à leur solidification à partir de matériaux en fusion arrachés des météorites au moment de leur entrée dans notre atmosphère.

Une origine qui reste à préciser

Les sphérules retrouvées par les chercheurs au large de la Papouasie-Nouvelle-Guinée seraient constituées surtout de fer, mais aussi d'un peu de titane et de magnésium. « Cette composition est anormale. Elle ne ressemble ni aux alliages fabriqués par les humains, ni aux astéroïdes connus ou à d'autres sources astrophysiques familières », affirme Avi Loeb dans son journal de bord en ligne. Des chercheurs confirment que, puisqu'elles contiennent très peu de nickel, ces sphérules ne proviennent probablement pas d'une météorite issue de notre Système solaire. Mais là où Avi Loeb voit la preuve qu'elles sont issues d'un engin extraterrestre, beaucoup d'autres scientifiques y perçoivent les traces de polluants bel et bien humains. Comme il s'en trouve désormais de plus en plus un peu partout sur Terre -- et dans les mers -- sous forme de... petites billes.

Comprenons-nous bien, que Cneos 20140108 ait eu une origine interstellaire n'est pas ici remis en question. La question qui se pose est d'abord de savoir si les sphérules présentées par l'équipe d'Avi Loeb sont ou ne sont pas des restes de cette météorite. Et pour le savoir, il pourrait être utile de les dater. Un âge supérieur à celui du Système solaire confirmerait leur origine lointaine. Mais toujours pas leur origine extraterrestre.

Tout le monde attend donc avec grande impatience les analyses plus poussées qui pourraient être menées sur ces objets. Mais l'histoire rebondie aujourd'hui parce que la Papouasie-Nouvelle-Guinée accuse l'équipe d'Avi Loeb... de vol. Selon l'Agence nationale de recherche du pays, l'équipe n'avait pas de permis de recherche dans la région et les scientifiques sont entrés en Papouasie-Nouvelle-Guinée avec des visas d'affaires et non des visas de chercheurs. Les autorités ont déclaré n'attendre « rien de moins que le retour de ce qui a été volé et que les voleurs soient tenus pour responsables ». Nul doute que quelques complotistes verront là une tentative désespérée de cacher la découverte de matériaux perdus par une civilisation extraterrestre...

La météorite interstellaire tombée en 2014 était-elle un artefact extraterrestre ?

Lorsqu'il a pénétré l'atmosphère de la Terre en 2014, cet objet a illuminé le ciel de Papouasie-Nouvelle-Guinée. Mais personne n'y a vraiment prêté attention. Personne. Sauf Avi Loeb, un astrophysicien de Harvard. Il y a vu quelque chose de puissant. De rapide. Quelque chose de mystérieux. Qui venait d'au-delà de notre Système solaire. Un engin extraterrestre ? C'est ce qu'il compte bien aller vérifier au fond de l'océan Pacifique.

Image du site Futura Sciences

Avi Loeb voit décidément des technologies extraterrestres partout. Y compris peut-être dans cet objet interstellaire qui a explosé dans le ciel de Papouasie–Nouvelle-Guinée en 2014. Il prépare une expédition destinée à le vérifier. © alexyz3d, Adobe Stock

Il y a quelques jours, l'armée américaine l'a confirmé : un objet interstellaire a explosé du côté de la Papouasie-Nouvelle-Guinée en 2014. Avi Loeb l'avait compris avant tout le monde. Oui, enfin, les preuves qu'il avançait alors étaient plutôt bancales, il est bon de le préciser. Son article avait d'ailleurs été rejeté par The Astrophysical Journal Letters -- et la Nasa appelle encore à de plus de amples investigations.

Mais Avi Loeb, rappelez-vous. C'est cet astrophysicien de l'université de Harvard (États-Unis) qui avait avancé, il y a un peu plus d'un an, que « 'Oumuamua est la preuve qu'il existe des civilisations sensibles autres que la nôtre, ailleurs dans l'Univers ». Avi Loeb, donc, avait vu en cet objet qui a fendu le ciel de Papouasie-Nouvelle-Guinée il y a près de 10 ans, quelque chose de trop rapide et de trop puissant pour venir de notre Système solaire. Aujourd'hui, il évoque une hypothèse bien plus folle encore. Et si cet objet -- de pas plus de 50 centimètres de diamètre -- n'était en fait autre qu'une technologie extraterrestre qui aurait fini sa course dans l'océan Pacifique ?

Depuis, l'affaire ‘Oumuamua, le chercheur avait travaillé à un projet destiné à traquer les Ovnis. Oui, les Objets volants non identifiés. Pas ceux que l'on préfère aujourd'hui appeler de manière plus policée les Pan, les Phénomènes aérospatiaux non identifiés, non. Avi Loeb, vous l'aurez compris, poursuit bel et bien les objets venus d'ailleurs. Et pour cela, il prévoit d'installer un télescope sur le toit de l'université d'Harvard. Un instrument à haute résolution qui enregistrera des images jour et nuit. Un instrument enrichi d'une intelligence artificielle qui l'aidera à se concentrer sur les objets « qui ne sont pas de la main des Hommes ».

Une expédition à la recherche d’une technologie extraterrestre

Mais revenons à notre objet interstellaire, nom de code Cneos-2014-01-08. Pour Avi Loeb, il constitue une opportunité, pour l'heure unique : celle de récupérer des matériaux extraterrestres à moindre coût. Avec l'objectif d'analyser sa composition. Et de vérifier si oui ou non, elle est artificielle. « Mon rêve serait de pouvoir appuyer sur les boutons d'un équipement fonctionnel qui a été fabriqué en dehors de la Terre », s'enflamme le chercheur dans un essai.

Pour faire de son rêve une réalité, Avi Loeb a décidé de concevoir une expédition dans l'océan Pacifique. Comptant sur le fait que les morceaux de Cneos-2014-01-08 devraient pouvoir être récupérés à l'aide de simples aimants. « L'océan sur place a une profondeur de quelques kilomètres et la région d'impact est incertaine à moins de 10 kilomètres. C'est tout à fait faisable », selon l'astrophysicien. Affaire à suivre...